Il suffit d’annoncer son histoire comme adulte pour que l’on pense aussitôt à une version 18+; sexe, violence, drogue, déchéance et cruauté. Soit. Y’a de ça, mais adulte pourrait être bien plus positif que l’on en a l’habitude.

En lien avec des thématiques précises souvent trouvées dans mes écrits
Il suffit d’annoncer son histoire comme adulte pour que l’on pense aussitôt à une version 18+; sexe, violence, drogue, déchéance et cruauté. Soit. Y’a de ça, mais adulte pourrait être bien plus positif que l’on en a l’habitude.
Jour d’inauguration! J’ouvre une nouvelle page sur mon site, celle du sociofinancement! Après mure réflexion et magasinage, j’ai décidé de faire le bond et de tenter quérir un peu plus d’autonomie. Je désire consacrer davantage de temps à l’écriture de mon blog, de mes projets et mes réseaux sociaux.
Il n’y a pas de conflits sans adversaires et pas d’histoire sans conflits. J’ai déjà abordé les ennemis classiques de mon roman Les Dissidents de Narbrocque, dont le premier volet est ici I. Chercher des Noises et le deuxième ici II. Des Bassates et des hommes. Voici le troisième et dernier article sur les antagonistes et assurément le plus intéressant. Il s’agit de l’antagoniste interne au protagoniste, celui qu’il porte en lui.
Je me souviens du film Das Experiment, riche sociologiquement parlant, mais plus particulièrement d’un détail dans une scène. Un “détenu”, ayant acquis un pistolet chargé de balles à blanc, menace un “garde” avec celui-ci. Il le pointe à bout portant, directement sur la tête. Dans la mêlée, la détente est appuyée… et le garde meurt. La surprise vient du fait qu’on se dit : «mais l’arme est chargée à blanc! Il n’y a pas de projectile, pourquoi son crâne éclate-t-il?» La physique dit que la pression relâchée par la cartouche vide, puisqu’il y a explosion tout de même, est suffisante pour provoquer un choc contre la paroi du crâne, à si proche distance. L’air éjecté par le conduit du pistolet fait éclater le crâne. La déflagration est mortelle.
J’ai rejoint et déjoint des groupes Facebook sur la littérature, surtout des groupes portés sur les genres littéraires, ceux de la fiction et de l’imaginaire: les mondes imaginés, comme ce que j’écris. Cependant, mon monde ne cadre pas. Jamais. Je n’arrive qu’à le définir à la négative. Ce n’est pas de la Fantasy. Ce n’est ni historique ni fantastique, encore moins de la science fiction. (Quoique j’ai presque fantasmé l’idée que science dans la scifi pourrait couvrir aussi les sciences humaines, chose qui ne semble jamais effleurer les gens et je risquerais de décevoir mon lectorat.) Ni parallèle à notre monde, réaliste si on accepte une ère irréelle et des terres inexistantes. Ni rien mais tous ça un peu en même temps. Sans l’être.
Si seulement il s’agissait d’un jeu d’enfant, mais je ne risque pas de jouer au jeu du loup, ça serait trop facile. Alors voilà. On m’a tagué. Et toute la différence entre un tag et une tague se trouve ici: premièrement, il y a un K. sournois et apparamment que y’a une sorte de tag qui est un prix prestigieux. O.o
Étrangement, j’en ai pris conscience seulement récemment. Ma nordicité. Et son omniprésence dans mon écriture. Et depuis, je m’intéresse tendrement à ses vents et ses silences de tombe.
J’ai assisté, il y a jadis, à une conférence qui parlait du rapport souvent ignoré entre l’esprit et le corps, des effets somatiques par exemple, mais aussi de nos positions physiques qui influenceraient l’esprit, la perception de notre environnement.